A regarder le cœur se fendiller, on peut douter parfois,

Que l’amour existe

Que la bonté existe

Ou que la beauté est.

 

Mais justement,

Parce que le cœur s’ouvre

-Déversant ainsi tous ses mystères-

On peut mieux voir à l’intérieur…

 

On peut scruter,

Derrière le sang des blessures,

-Comme un rideau s’ouvrant pour découvrir la scène –

Et apercevoir alors,

Les joyaux de l’amour

Les rivières de bienveillance

Et une beauté sauvage, naturelle, intouchable.

 

Tout est là, intact et protégé…

 

Soulagé de savoir qu’on peut encore aimer, rêver, vivre,

On referme, recousant chaque blessure, nettoyant chaque plaie.

 

Le cœur se remet à battre,

Le sang circule de nouveau,

Et sous nos yeux le monde se charge de nouvelles couleurs.

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